C’est François Cluzet qui a proposé le projet au réalisateur avec qui il a avait tourné En solitaire, après avoir eu un coup de cœur pour Une Canaille et demie : « il y avait dans le roman tous les ingrédients d’une bonne histoire : le dysfonctionnement de la société, la singularité des personnages et la satire du quotidien. Chacun des personnages est une représentation singulière de notre société et nous pousse à nous questionner sur notre rapport à l’altérité, à la communication et à l’ambivalence de nos sentiments » Cette adaptation a nécessité 3 ans de travail pour transposer le roman qui se déroule en Amérique dans un lieu indéterminé. Qu’en dira l’auteur ? Réponse le  6 octobre !