« Sandrine Kiberlain incarne cette héroïne moderne avec toute la démesure, l’insolence, l’émotion mais aussi tout l’humour requis. Un bel hommage à une femme de convictions et de contradictions qui était « dans le trop » : « trop aimante, trop violente, trop injuste, trop éprise de justice, trop révoltée ». Sans doute trop libre pour son temps, aussi. C’est la citoyenne engagée (pour le féminisme, contre l’antisémitisme), la cheffe d’entreprise redoutable, l’amoureuse passionnée que Guillaume Nicloux raconte, avec quelques mensonges historiques assumés mais aussi une grande vérité psychologique. » Télérama