À Gaza, il faut arriver le soir au printemps, s’enfermer dans sa chambre et écouter les sons qui
entrent par les fenêtres ouvertes… Nous sommes en 2018. J’ai 25 ans et je suis un voyageur étranger. Je rencontre de jeunes palestiniens de mon âge.
Avec une douceur qui contraste avec la brutalité environnante, se raconte la vie de Gaza comme un murmure de résilience et de résistance.
Vendredi 7 mars à 21h séance en présence de l’équipe de Ciné-Palestine Toulouse Occitanie.